Pour les articles homonymes, voir La Défense (homonymie).
La Défense, en région parisienne, est le premier quartier d'affaires européen par l'étendue de son marché de bureaux. Il est situé dans les
Hauts-de-Seine à l'ouest de
Neuilly-sur-Seine et dans le prolongement de l'
Axe historique parisien qui commence au
Musée du Louvre et se poursuit par l'avenue des Champs-Élysées, l'arc de triomphe, et au-delà jusqu'au pont de Neuilly et la
Grande Arche de la Défense.
On considère traditionnellement que la Défense correspond à l'espace géré par l'Établissement public pour l'aménagement de la région de la Défense (EPAD). Il s'étend historiquement sur une partie des communes de Puteaux, Courbevoie et Nanterre. Depuis 2000 toutefois, la partie se trouvant sur le territoire de Nanterre ne dépend plus de l'EPAD mais de l'EPA-Seine-Arche.
Le quartier compte environ 150 000 salariés et 20 000 habitants . Il est composé essentiellement de Gratte-ciel, reliés par une immense dalle de 31 hectares dédiée aux piétons, le parvis de la Défense, où l'on trouve des jardins suspendus et une soixantaine d'oeuvres d'art qui en font un musée en plein air.
La Défense n'est pas un centre d'affaires isolé, mais se situe dans une vaste zone de l'ouest parisien où l'activité tertiaire est particulièrement puissante..
Les habitants de La Défense et ceux qui y travaillent sont officiellement les « Défensiens » mais on peut aussi dire les « Défensois ».
Historique
Son nom vient du monument
La Défense de Paris érigé à la gloire des soldats ayant défendu la ville durant la guerre franco-allemande de 1870. C'est une sculpture de
Louis-Ernest Barrias en
Bronze inaugurée en
1883 sur ce qui était le rond-point de
Courbevoie et toujours visible aujourd'hui sur le parvis.
De 1958 aux années 1970 la première phase du centre d'affaires
En septembre
1958, l'Établissement public pour l'aménagement de La Défense (EPAD) est créé par l'
État pour construire, gérer et animer le quartier. La Défense commence à se dessiner. Un premier plan d'aménagement est approuvé par l'
État en
1964. Les premiers immeubles dont la
Tour Esso et la
tour Nobel sont construits et viennent remplacer petit à petit les usines (liées à la mécanique et à l'automobile), les
bidonvilles voisins et quelques fermes. Le Centre des nouvelles industries et technologies (CNIT) dessiné par les architectes
Robert Camelot,
Jean de Mailly et
Bernard Zehrfuss, prévu dès
1956 avant l'EPAD, est inauguré en
1958 par le
général de Gaulle à l'occasion de l'exposition Les Floralies. Les tours, obéissant à ce premier plan, dites de première génération, sont toutes d'un gabarit identique : une base de 42
mètres sur 24, limitées à une hauteur de 100 mètres et d'une surface de 30 000 m². En
1966, la tour Nobel (architecte Jean de Mailly) est la première tour à se dresser à La Défense.
Au début des Années 1970, pour répondre à une forte demande, les tours de deuxième génération font leur apparition. Le plan de 1964 est modifié pour augmenter la surface des immeubles. Des tours de 100 000 m² font leur apparition comme la tour Fiat (aujourd'hui Areva), culminant à 184 m avec ses 44 étages. À partir de 1973, la Crise économique ralentit fortement le développement de ce quartier qui est au plus mal : pas un mètre carré de bureau ne se vend pendant quatre ans.
Les années 1980 et 1990 : reprise de l'expansion
Dès le début des
Années 1980, pour relancer la construction de la Défense, des tours de
troisième génération sont construites, sur un modèle plus économique : moins larges et moins hautes comme les
Tour Pascal,
Tour Voltaire et tout le quartier Michelet. Le plus grand centre commercial d'
Europe de l'époque (100 000 m²), les
Quatre Temps, est créé en
1981. En
1982, l'EPAD, sous l'impulsion du président
François Mitterrand, lance le concours « Tête Défense » qui conduira à la construction de la
Grande Arche. Durant cette même période, des hôtels sont construits, le CNIT est remodelé (
1989) et le prolongement de la ligne 1 du
métro parisien, inauguré le
1er avril 1992 , rapproche davantage La Défense de
Paris intra-muros.
En 1991 est prévu la construction de la tour Sans Fins de Jean Nouvel, second plus haut Gratte-ciel du monde à l'époque avec ses 426 mètres après la Sears Tower de Chicago, pour une livraison en 1993. Le projet fut abandonné.
En 1993, La Défense connaît sa seconde crise. Il faut attendre 1997 pour qu'un redémarrage spectaculaire surgisse. Aujourd'hui, La Défense est le premier quartier d'affaires d'Europe. Banques et assurances ont investi les lieux quittant les quartiers traditionnels qu'ils occupaient entre la Bourse et l'Opéra.
Les principales sociétés installées sont Cegetel, la Société générale, Total, Aventis. La plus grande tour est celle de Total, anciennement tour Elf, construite en 1985. Avec 48 étages sur 187 mètres de hauteur, c'est le deuxième plus grand Gratte-ciel de France après la Tour Montparnasse ; les deux tours sont des mêmes architectes Roger Saubot et François Jullien.
Une partie des services du ministère des Transports, de l'Équipement, du Tourisme et de la Mer est implantée dans la Grande Arche et la Tour Pascal.
De nouvelles tours de hauteur comparable, appelées Tour T1 des architectes Valode et Pistre et Tour Granite sont en cours de construction.
La Défense 2015 : l'esquisse d'un nouveau grand projet
Bernard Bled, directeur général de l'EPAD, a proposé le
2 décembre 2005 au conseil d'administration de l'EPAD, le projet La Défense 2015, un important plan de développement qui comporte la construction de 850 000 m² de bureaux et 100 000 m² de nouveaux logements, l'édification de tours de plus de 300 mètres de haut (
Tour Signal,
Tour Generali et
Tour Phare) et la rénovation de tours existantes. L'État doit donner une réponse courant
2006 à ce plan dont la réalisation, prévue aux environs de
2015, donnerait une nouvelle dimension à La Défense.
Plusieurs faits peuvent justifier ce plan. La très forte pression immobilière (Paris est la seconde ville la plus chère d'Europe après Londres dans le secteur immobilier) pousse à la création de nouvelles tours de bureaux à Paris ou à proximité, nettement plus économiques que les multiples petites constructions ou la transformation de bâtiments résidentiels existants et qui auraient l'avantage de ne pas nuire au parc immobilier de résidence en région parisienne. Par son emplacement, et des règles d'urbanisme plus souples que dans Paris même, la Défense offre de réelles possibilités. D'autres secteurs proches de Paris sont envisagés en Seine-Saint-Denis (plus accessible et plus proche aussi des zones économiques des aéroports de Roissy-Charles-de-Gaulle, les possibilités de transport étant beaucoup moins saturées), un département où les tours résidentielles sont fort nombreuses afin de rééquilibrer tissu résidentiel et activité économique. Cependant c'est plutôt au Sud de Paris (plus accessible depuis la zone aéroportuaire d'Orly) que devrait se développer immédiatement une nouvelle zone en rive de Seine prolongeant les secteurs parisiens de Tolbiac et Bercy. Les promoteurs du projet de la Défense pensent que c'est la Défense qui sera le moteur permettant d'attirer les entreprises étrangères en France, et que cela favorisera l'activité des autres pôles économiques tout autour de Paris.
Il devra toutefois surmonter plusieurs facteurs de blocage : perspectives médiocres à court terme de l'économie française, volonté des pouvoirs publics de rééquilibrer un emploi du Secteur tertiaire trop concentré dans les Hauts-de-Seine, moyens de transport saturés ne permettant pas de faire face à l'afflux de nouveaux salariés (le prolongement de la ligne RER E envisagé est une opération financière très lourde qui aura du mal à se réaliser).
La relance des projets de démolition-reconstruction, permettant d'optimiser les espaces et d'éviter les coûteux réaménagements ou consolidation d'immeubles existants en vu de leur rehausse, ont été grandement facilités par la décision publique de ne plus taxer la construction de toute la surface de bureaux construite, mais seulement la surface supplémentaire apportée par la reconstruction.
En février 2007 trois projets sont en cours à La Défense :
- La construction de la Tour Generali de 90 000 m² et d'une hauteur de 318 mètres a été annoncée par la compagnie d'assurance Generali en octobre 2006. Cette tour dont la conception est confiée au cabinet d'architectes Valode-et-Pistre sera construite sur l'emplacement actuel de l'immeuble IRIS.
- La société immobilière Unibail a confirmé en novembre 2006 son projet pour la Tour Phare qui devrait s'élever d'ici 2012 à environ 300 mètres et se trouver non loin du CNIT.
- La Tour Majunga, également initiée par Unibail, devrait mesurer 195 m de hauteur vers 2011.
Travailler et vivre à La Défense
Les transports en commun et La Défense
Les transports en commun ont joué un rôle primordial dans le développement de La Défense. Le CNIT, premier jalon du nouveau quartier, est édifié non loin de la ligne de banlieue Versailles - Rive Droite - Saint-Lazare. La
Gare de la Défense dédiée est alors construite sur cette ligne qui passe aujourd'hui sous le parvis et l'
Arche de la Défense. La Défense connaît sa première phase d'expansion lorsque la ligne de Ligne A du RER d'Île-de-France est inaugurée fin
1969 : la gare souterraine RER de La Défense aux dimensions particulièrement monumentales assure la correspondance avec la ligne de banlieue ; désormais La Défense est à 11 minutes du centre de
Paris et les résidents de la banlieue Est peuvent atteindre en une demi-heure ce nouveau lieu de concentration de l'emploi tertiaire.
Pour faire face à la croissance du trafic, la ligne 1 du métro parisien dont le terminus se situait antérieurement Pont de Neuilly est prolongé en 1992 jusqu'à l'Arche de La Défense en correspondance avec les 2 lignes précédentes : ce faisant elle soulage en partie la ligne du RER A complètement saturée (avec 1 million de passagers en jour ouvré), ainsi que celui de la ligne ferroviaire de banlieue depuis la gare Saint-Lazare (elle aussi saturée, malgré son interconnexion au RER E) également desservie par la ligne 1. Une station intermédiaire, Esplanade de la Défense, dessert l'Est de la Dalle près du pont de Neuilly.
En 1997, la ligne 2 du tramway parisien est inaugurée : elle assure une desserte en site propre entre La Défense et Issy-les-Moulineaux. La capacité de cette ligne est doublée depuis par l'utilisation de rames doubles Citadis.
Selon une étude réalisée pour l'ÉPAD en 2006, 9 salariés à La Défense sur 10 s'y rendaient en transports en commun, et les déplacements en voiture y ont reculés, de 17 % en 1998 à 13 % en 2006. Toutefois, compte tenu de la croissance programmée de La Défense dans la décennie à venir, 40 000 nouveaux salariés devraient être accueillis sur le site. Pour cela, il est indispensable de continuer à développer l'offre de transports en commun .
Le plan de développement de La Défense 2015, finalement approuvé le 25 juillet 2006 sous le nom de « Plan de renouveau de La Défense » prévoit la mise en place d'une nouvelle desserte ferroviaire lourde constituée par un prolongement sur une voie nouvelle de la ligne de RER E, dont le terminus se situe actuellement à la gare Haussmann - Saint-Lazare (ce qui soulagerait à la fois le trafic ferroviaire de banlieue depuis Saint-Lazare, et celui de la ligne 1, qui sont les deux moyens de correspondance pour rejoindre La Défense). Ces moyens de transport sont complétés par une gare routière d'où partent 15 lignes de bus.
La Défense, exposition permanente de sculpture moderne
Article détaillé : . Le site de La Défense est parsemé d'environ 60 oeuvres d'art – fresques et sculptures modernes souvent de taille monumentale – qui trouvent dans ce lieu un cadre bien adapté. Les plus remarquables sont :
- le grand Stabile Rouge d'Alexander Calder – une sculpture de 15 mètres – située non loin de la tour Total ;
- la fontaine monumentale de Yaacov Agam qui marque vers l'Est la fin de la partie la plus animée de la Dalle ;
- une sculpture monumentale de Joan Miró très colorée devant l'une des entrées du centre commercial des Quatre Temps ;
- le bassin de Takis piqueté de signaux énigmatiques fermant la dalle vers l'Est (qui ont leur pendant à l'Ouest de la Grande Arche) ;
- la Cheminée de Raymond Moretti haute de 32 mètres et constituée de centaines de tubes colorés ;
- le Pouce de César Baldaccini, sculpture de 12 mètres.
La Défense, lieu de vie
Les concepteurs du quartier de La Défense ont réservé une partie de l'espace à des immeubles d'habitation pour en faire un quartier équilibré et vivant. Le pari n'est pas entièrement réussi : La Défense, une fois les salariés partis, est un quartier peu animé, coupé en outre des villes voisines de
Puteaux,
Courbevoie et
Nanterre par le boulevard circulaire qui cerne la quartier. Mais la situation évolue puisque l'ouverture du cinéma UGC-Ciné Cité a donné un peu plus de vie le soir et le week-end, et des travaux en cours sur le circulaire tentent de porter remède à l'isolement du quartier.
Selon une étude de l'EPAD de 2006, la population de la Défense est composée de 150 000 salariés dont l'âge moyen est de 40 ans et de 20 000 résidents dont l'âge moyen est de 50 ans. La répartition par type d'emploi est le suivant :
Salariés | Type d'emploi | % |
---|
Cadre | 67 | Employé | 17 | Agent de maîtrise | 11 | Autre | 4 | Ouvrier | 1 |
| Résidents | Type d'emploi | % |
---|
Cadre ou cadre supérieur | 34 | Retraité | 28 | Employé | 22 | Agents de maîtrise, technicien, ouvrier | 5 | Élève et étudiant | 3 | Artisan et commerçant | 3 | Femme au foyer | 1 | Chômeur | 1 |
|
Chiffres et anecdotes
- 1 500 entreprises dont 14 des 20 premières nationales et 15 des 50 premières mondiales ;
- 3 millions de m² de bureaux (45 millions de m² pour l'agglomération parisienne) ;
- 230 000 m² de commerces (dont 130 000 aux Quatre Temps) ;
- 2 600 chambres d'hôtel ;
- 265 usines pour le traitement de l'air et la ventilation ;
- 50 terrasses de cafés et de restaurants ;
- 150 000 salariés ;
- 20 000 personnes y vivent ;
- 90 000 m² de voiries (dont 60 000 couverts) ;
- Entourée par une route périphérique appelée boulevard circulaire ;
- Desservie par le T2, Transilien Paris-Saint-Lazare, le RER A, la ligne 1 du métro parisien et 16 lignes de Bus RATP.
- 17 km de canalisations ;
- 10 km de réseau d'assainissement ;
- 10 km de galeries techniques ;
- 7 monte-charges ;
- 31 ha pour l'espace piétonnier, divisé en 12 secteurs ;
- 14 000 foyers d'éclairage public ;
- 100 ascenseurs ;
- 50 escaliers mécaniques ;
- 60 sculptures d'art contemporain monumentales ;
- 11 ha d'espaces verts ;
- 20 bassins (dont 2 monumentaux : la fontaine d'Agam et le bassin de Takis) ;
- 10 km de réseau automatique d'arrosage ;
- Des faucons crécerelles nichent dans les tours de la Défense, pendant leur période de nidification entre avril et août.
Source : EPAD en chiffres. Monuments et tours les plus hautes
Les bâtiments les plus connus aujourd'hui sont la
Grande Arche et le CNIT.
Les principales tours
Remarque : certaines tours non situées sur le périmètre géré par l'EPAD figurent tout de même dans ce classement parce qu'elles sont perçues, à cause de leur proximité, comme faisant partie du quartier de La Défense. C'est le cas de la
Tour Granite, qui relève de l'opération
Seine-Arche (nouveau programme situé à
Nanterre et prolongeant celui de l'EPAD à La Défense).
- Tour Generali (2011) : 318 m, 56 étages. (en projet)
- Tour Signal (En étude) : entre 255 et 310 mètres; "une tour emblématique" (en projet)
- Tour Phare (2012) : 300 m environ. (en projet)
- Tour Gan ( 1974 / 2nd semestre 2008) : 275 m, (en réhabilitation) (la tour actuelle fait 179 mètres)
- Tour AXA (1974 / 2010) : 240 m, 39 étages. (en réhabilitation)
- Tour PB 22 (date inconnue) : 235 m environ. (en projet)
- Tour Air2 (2011) : 220 m. (en projet)
- Tour Majunga (2011) : 195 m environ. (en projet)
- Tour Total (1985) : 187 m, 48 étages.
- Tour T1 (2008) : 185 m, 36 étages.
- Tour Areva (1974) : 184 m, 44 étages.
- Tour Granite (2008) : 183 m, 40 étages. (en construction)
- Tours Société générale (1995) : 2 x 167 m, 37 étages.
- Tour Carpe Diem (2011) : 166m (en projet)
- Tour D2 (2011) : 165 m (en projet)
- Tour EDF (2001) : 165 m, 40 étages.
- Tour Coeur Défense (2001) : 161 m, 40 étages.
- Tour Adria / Technip (2002) : 155 m, 40 étages.
- Tour Égée / Ernst & Young (1999) : 155 m, 40 étages.
- Tour Ariane (1975) : 152 m, 36 étages.
- Tour CBX (2005) : 143 m, 34 étages.
- Tour Descartes (1988) : 140 m, 40 étages.
- Tour Défense 2000 (1974) : 136 m, 46 étages.
- Tour Les Poissons (1970) : 128 m, 42 étages.
- Tour Michelet (1985) : 127 m, 34 étages.
- Tour France (1973) : 126 m, 41 étages.
- Tour Europlaza (1972) : 122 m, 31 étages.
- Tour Franklin (1972) : 120m, 33 étages.
- Tour Séquoia (1989) : 119 m, 33 étages.
- Tour Winterthur (1973) : 119 m, 33 étages.
- Tour CB16 (1971) : 117 m, 32 étages.
- Tour Neptune (1975) : 113 m, 28 étages.
- Tour Aurore (1970) : 110 m, 29 étages.
- Tour Manhattan (1975) : 110 m, 32 étages.
- Tour Ève (1975) : 109 m, 37 étages.
- Tour Initiale (1967) : 109 m, 34 étages.
- Tour Gambetta (1975) : 106 m, 37 étages.
- Tour Cèdre (1998) : 103 m, 23 étages.
- Tour Athéna (1984) : 100 m, 22 étages.
- Tour Opus 12 (1973) : 100 m, 25 étages.
- Tour AIG (1967) : 99 m, 27 étages.
- Tour Europe (1964) : 99 m, 28 étages.
- Tour GAN Eurocourtage (1996) : 97 m, 25 étages.
- Tour Atlantique (1970) : 95 m, 27 étages.
- Tour Pascal (1983) : 95 m, 27 étages.
- Tour La Pacifique (1992) : 90 m, 25 étages.
- Hôtel Méridien La Défense (2010) : 87 m (en projet)
- Tour Voltaire (1988) : 82 m, 23 étages.
- Tour Exaltis (2006) : 72 m, 16 étages.
Galerie
Notes et références
Voir aussi
- Grande Arche
- Axe historique
- Centre des nouvelles industries et technologies (plus connu sous son acronyme, CNIT)
- Liste des bâtiments de la Défense
- Notre-Dame de Pentecôte
Quartiers similaires dans d'autres villes
- Canary Wharf, Londres
- La City, Londres
- Central, Hong Kong
- Kirchberg, Luxembourg
- Mainhattan, Francfort
- Loop, Chicago
- Midtown Manhattan, New York
- Pudong, Shanghai
- Shinjuku, Tokyo
- La Part-Dieu, Lyon
- Bab Ezzouar, Alger
- Sidi Maârouf, Casablanca
- Santa Fe, Mexico
- Pudong, Shanghai
Liens externes